Enceinte au travail
De nos jours, les femmes sont de plus en plus nombreuses à exercer un métier, par choix ou par nécessité.
Vie professionnelle et grossesse sont compatibles, si celle-ci se déroule normalement.
Il faut penser à avertir son employeur au plus tôt de la grossesse et de la date présumée de l’accouchement.
La femme enceinte ne peut pas être licenciée pour ce motif, mais au contraire, elle bénéficie de protections particulières liées à son état.
Si elle exerce une activité sédentaire sans stress excessif, où elle peut s’asseoir régulièrement, elle pourra normalement travailler jusqu’au terme de sa grossesse.
Par contre, si ses conditions de travail nécessitent un aménagement (travail debout, produits toxiques, …), il faut voir ce qu’il en est avec le médecin du travail ou avec son patron.
Si la grossesse n’est pas une maladie, la femme enceinte est malgré tout sujette à plus de fatigue et plus sensible.
Particulièrement en début et en fin de grossesse.
Elle doit être prudente si elle a de longs déplacements pour se rendre à son travail.
Plus que son emploi, ce sont souvent ceux-ci qui sont une source de fatigue.
Le gynécologue proposera à sa patiente de l’arrêter quelques jours pour qu’elle se repose si elle est trop fatiguée.
Au besoin, il lui fera arrêter plus tôt son travail, afin d’éviter les risques d’un accouchement prématuré ou d’avoir un bébé de petit poids.
Certaines femmes profiteront de leur grossesse ou de la naissance de leur bébé pour opter pour un travail à temps partiel ou pour une interruption de carrière plus ou moins longue.
Quel que soit son emploi, la femme enceinte ne doit pas oublier qu’après sa journée de travail, il lui faut bien souvent assumer les charges du ménage et éventuellement s’occuper de ses autres enfants.
Le mieux c’est qu’elle se fasse aider autant que possible, et qu’elle ne se tracasse pas si pendant quelque temps sa maison n’est pas impeccable.
Prudence donc.
Et en cas de fatigue, ne pas hésiter à consulter son médecin, qui prescrira à sa patiente du repos.
Une naissance menée à terme et dans de bonnes conditions est un objectif prioritaire pour toute future maman, même si sa carrière doit être provisoirement ralentie et ses tâches ménagères « simplifiées ».
Se ménager et s’accorder du bon temps.
La contraception masculine, où en est-elle ?
Aujourd’hui, les laboratoires s’activent pour le grand jour.
3 voies semblent s’être dessinées :
- freiner la stimulation provenant de l’hypophyse, un peu comme la pilule contraceptive féminine.
- bloquer les récepteurs testiculaires à ces mêmes stimulations.
- stopper ou empêcher, en aval, au niveau des canaux testiculaires, les derniers stades de fabrication des spermatozoïdes, pour les rendre inopérants.
Une étude a été présentée récemment au congrès mondial de la fédération internationale de gynécologie obstétrique.
Elle porte sur une tentative de blocage de la stimulation hypophysaire.
L’hypophyse agit aussi bien sur la formation des spermatozoïdes que sur la sécrétion des hormones mâles.
Ces 2 processus ont lieu dans les testicules.
Bloquer l’hypophyse revient à bloquer les 2 productions.
La molécule choisie pour agir sur l’hypophyse est une hormone de type progestérone, le desogestrel, présente dans certaines pilules dites de troisième génération.
Tandis que l’hypophyse est retenue, il est nécessaire de remplacer les sécrétions hormonales par un implant de testostérone.
Les doses nécessaires pour obtenir l’arrêt total, chez tous les participants à l’étude, de la production de spermatozoïdes, se sont révélées être le double de celles utilisées en contraception féminine.
Preuve est donc faite de l’efficacité de la méthode.
Il reste quelques problèmes à résoudre :
- quels seront les effets secondaires d’un progestatif chez l’homme ?
- sous quelle forme, injection mensuelle, implant ou autre, palier au déficit hormonal ?
- les hommes seront-ils réticents à l’idée d’avoir besoin de ces hormones de remplacement ?
- comment gérer la période de 3 mois nécessaire à l’obtention de l’arrêt de la production de spermatozoïdes ?
- les femmes croiront-elles un homme qui prétendra avoir adopter une méthode contraceptive ?
Voilà des questions qui rappellent à certains d’entre nous, de ceux qui les ont vécus, les débuts de la contraception féminine.
Comment habiller un bébé qui va naître en plein hiver ?
Bébé va naître en plein hiver, il faudra donc l’habiller en conséquence.
Les bodys sont parfaits comme sous-vêtements, de jour comme de nuit.
Comme ils sont fermés à l’entrejambes, Bébé restera bien couvert.
Les pyjamas sont les bienvenus pour la nuit et même le jour.
Pour le jour, le choix ne manque pas.
De nos jours, les vêtements pour bébés sont aussi diversifiés que ceux de leurs aînés :
- sweats car ils sont chauds, confortables et faciles d’entretien
- pantalons ou caleçons compléteront la tenue
Pour les tricots, opter pour ceux qui sont lavables en machine.
Tant les boutiques que les grandes surfaces proposent un vaste choix en la matière.
Éviter cependant de trop acheter dans une même taille car, très vite, Bébé passera à la taille supérieure et des habits seront certainement reçus en cadeau lors de la naissance de sa naissance.
Mais c’est si dur de ne pas se laisser tenter.
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